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jeudi 4 avril 2013

la moralisation de la vie publique, une urgence !

lien vers la pétition en ligne



Le scandale Cahuzac, après tant de mensonges publics, venant après tant d’autres scandales, a créé une onde de choc sur le gouvernement, sur la vie politique de notre pays.
La situation de la France exige une démarche générale de moralisation de la vie publique dans notre pays. Nous appelons à une nouvelle nuit du 4 août, pour abolir un certain nombre des privilèges parmi les plus exorbitants du droit.
Pétition adressée à :
M. le Président de la République 
Nous vous demandons d'avoir le courage de vous tourner vers le peuple pour qu’il exprime par référendum sa volonté de mettre un terme aux dérives qui l’indignent chaque jour davantage.

Ce référendum doit avoir pour objet la loi générale de moralisation que le pays attend, à laquelle il ne croit plus, mais qui est possible.

Elle doit toucher aux pratiques du pouvoir et du monde politique.

Elle doit permettre d’interdire les conflits d’intérêt par l’adoption rapide des mesures proposées par le rapport Sauvé.

En particulier, elle doit créer d’urgence une autorité de déontologie de la vie publique. Cette autorité doit se voir confier la charge du contrôle et de la publicité des déclarations de patrimoine des ministres et des élus et la lutte active contre le mélange entre les intérêts privés et l’intérêt public.

Cette autorité permettra d’interdire les situations qui durent depuis des lustres, dans lesquelles des élus, en particulier par l’exercice de professions de conseil, sont soumis à des influences extérieures, en recevant des avantages ou des émoluments du monde des intérêts privés.

Au moment où les pouvoirs demandent sans cesse des efforts aux citoyens, ils doivent s’appliquer ces efforts à eux-mêmes.

Il faut que soit mis un terme à l’habitude prise en France de gouvernements pléthoriques, comportant jusqu’à 40 ministres et ministères, des Assemblées pléthoriques, près de 600 députés pour l’Assemblée, près de 300 sénateurs, des cabinets qui font double emploi avec les administrations dont le ministre a la charge.

Il faut que soit réglée, après tant de promesses jamais respectées, la question du cumul des mandats. Nous disons à François Hollande que renvoyer à 2017 l’application de cette règle, c’est se moquer des citoyens. Eux, on ne leur proposera pas de renvoyer à 2017 les efforts de toute nature qu’on leur demande dès cette année ! Et dans le cas où il aurait peur d’élections partielles, il lui suffit de rappeler aux élus de sa majorité que s’ils sont responsables, ils conserveront leur mandat, quitte à retrouver leurs fonctions locales en 2017 !

Il faut que les parlementaires et les élus se trouvent à égalité de traitement avec l’ensemble des citoyens, notamment en matière d’égalité devant l’impôt. Il n’est pas acceptable que les élus votent des impôts que, pour nombre d’entre eux, ils ne sont pas appelés à acquitter eux-mêmes.

Il faut que tous les courants d’opinion d’importance substantielle soient représentés à l’Assemblée nationale. J’entendais cette après-midi, les orateurs à l’Assemblée dire : « nous représentons le peuple ! ». Evidemment, c’est une illusion, vous représentez le peuple PS et le peuple UMP, mais le peuple français d’extrême-droite, d’extrême gauche et du centre indépendant, il n’est pas représenté : moins de 1 % des sièges, pour près de 40 % des voix obtenus à chaque élection présidentielle. Il faut donc une règle électorale juste qui permette si on le veut d’élire une majorité mais qui impose de représenter autrement que symboliquement les courants minoritaires du pays. Car le débat où ne peuvent se faire entendre que les partis dominants empêche la vérité, ou en tout cas bien des vérités de se faire jour.

Il faut enfin que les nominations, en particulier les nominations dans les fonctions de contrôle de l’État, ne puissent plus être comme elles le sont depuis trop longtemps, le fait du prince et l’apanage de ses favoris.
Cordialement, 


lundi 19 novembre 2012

Bonjour à tous ,
Quelques notes prises sur l’actualité:
Dans les médias F.Bayrou indique son vision partagée sur le contenu du discours de F.hollande soulignant sa maturité ainsi que le changement radical de discours du PS et de la gauche en général ou pour une fois le PS prenait ses responsabilités et arrêtait de croire que le retour de la croissance était l’unique moyen de sortir l’économie dans la difficulté dans laquelle elle se trouve. FBayrou se trompe (cela m’est dur à écrire je vous l’avoue) lorsqu’il croit que l’économie est tenue par des personnes qui ont, comme lui, du bon sens. En fait les actions qui sont faites ne se situent pas sur un plan du bon sens, elles poursuivent un autre objectif. Lorsque Hollande a indiqué pendant sa campagne « mon ennemi est la finance » et que F.Bayrou lui a rétorque « moi, mon ennemi c’est plutôt le chômage. » je pense que les deux se trompent mais que cependant FB se trompe plus profondément .En effet le chômage que nous connaissons à l’heure actuelle est surtout de nature systémique (en ce sens qu’il est issue de choix du système économique) et non une résultante d’une quelconque crise inéluctable (c’est ce que beaucoup de réformateur voudraient nous faire croire pour justifier les plans de rigueur imposé).
Se trompant de cible l’un et l’autre sur les causes réelles  les mesures prises ne seront forcément pas à la hauteur des enjeux.
Baudelaire écrivait que « le coup le plus rusé que le diable ait jamais réussi a été de nous faire croire qu’il n’existait pas. Je pense que les coups les plus rusés qu’a réussi le système économique actuel à été :
1)      De nous faire croire qu’il n’y a que le capitalisme est la seule économie moderne qui existe. Que supprimer le capitalisme serait  en quelque sorte retourner à l’Age de pierre ou à l’Age du troc.
2)      De nous faire croire que le contraire du capitalisme serait le « communisme soviétique » .cet épouvantail est souvent agité par les réformateurs qui nous expliquent que « vous ne voulez tout de même pas revenir au temps des soviets avec les files d’attente a perte de vue pour un morceau de pain ».

Tout ceci pour nous faire intégrer que le système économique actuel a des effets néfastes  certes (dette, chômage, délocalisation etc) et qu’il faut combattre  mais que qu’on doit faire avec parce qu’il n’ay rien d’autre si nous voulons aller vers la modernité.
Ce qui est le contraire ou subversif au capitalisme n’est certainement pas le « communisme soviétique » .C’est la cotisation sociale.si cela n’est pas vu c’est probablement parce que la cotisation sociale existe déjà au cœur même du système actuel.

Deuxième point d’actualité :la déchirure de l‘UMP sur le motif des élections internes (qui semblent concerner bizarrement la France entière).Cette déchirure avait été prévu notamment bien avant le 8 mai comme une conséquence de l’élection présidentielle par Jacques ATTALI dans un de ses éditos de l’express. Ce qu’il n’avait pas prévu c’est le déchirement de la majorité extrême gauche ,qui je le rappelle avait appelé a voter  PS ) ainsi que les écologistes .On pouvait cependant le supposer car cela était déjà arrivé après l’éclatement de la  « gauche pluriel .
Au centre nous semblons à l’heure actuelle divisé entre les centre-gauche les centre droits et, dirons nous, les centre indépendants (lorsque j’écrits centre indépendant je ne veux pas  dire que cela est meilleur) .Ce que nous recherchons certainement c’est l’union. Mais nous voyons que ce serait un leurre de croire que nous trouverions l’unité au PS ainsi qu’à l’UMP .Il serait dangereux de céder aux douces sirènes de l’UDI (qui est allé jusqu’à insérer le mot union dans son nom).UDI qui, curieusement, reste un tantinet muette sur les déchirements actuels de l’UMP.
En clair je pense que Mr BORLOO a tort de se rapprocher de l’UMP ou de la droite et Mr BAYROU a tort de se rapprocher de F.HOLLANDE et de la gauche en général (c’est ce qui sera perçu même si ce n’est probablement pas le message qu’il veut faire passer) .
Ces deux grands partis se disputent sur les solutions à mettre en œuvre mais aucun n’identifie, ou veux identifier la cause principale de la paupérisation de notre pays .Ils se contentent de petites causes auxquelles ils appliquent de petites solutions. Cela tend à prouver que ces deux grands partis sont satisfaits de la situation (je pèse mes mots, surtout qu’à grand renfort de communication on nous explique qu’on pense à nous) .Satisfait également de la situation politique (l’UMP sait très bien qu’elle ne conquerra le pouvoir politique que par les urnes et qu’elle le seul parti d’opposition dont on tient compte).
Ne pas soucier d’un peuple et ne pas lui apporter des solutions est le terreau ou pousse l’extrême droite (comme l’a fort justement dit Luc FERRY : ce qui fait le ciment de l’extrême droite ce n’est pas la peur c’est la colère).
Je pense que  les partis du centre ou les mouvements centristes (et toutes les sensibilités s’y rapportant) devraient prendre conscience qu’elles ne trouveront pas leur réponses dans les partis politiques principaux au pouvoir. D’ailleurs leur échec devrait nous en apporter la preuve. Je sais bien que cette prise de conscience sera difficile et non sans heurt. Mais elle sera à mon sens nécessaire. Surtout si l’on veut proposer autre chose.
Venez nous rejoindre pour  partager ce projet.
A bientôt ,
Jean-Michel VAN NUVEL

samedi 27 octobre 2012

Les valeurs centristes en question



Bonjour à tous,
L’UDI a été créé il y a maintenant quelques semaines, mouvement qui, sous l’impulsion et la présidence de Jean-Louis BORLOO se veut un renouveau de l’UDF (dans les grandes lignes, bien entendu, les sensibilités présentes nuançant quelque peu).
Le MODEM Tarnais a lui, en son sein même, des membres de centre-droits de centre-gauche et de centre « tout court » ou, nous, de centre indépendant.
L’histoire n’est souvent qu’un éternel recommencement, le centre se retrouve un peu dans la situation des écologistes après l’éclatement de la gauche pluriel.
Mais nous savons aussi nous rassembler, cela s’avèrera nécessaire pour éviter un effondrement annoncé et anxiogène.
En ce sens, le Conseil départemental du Modem Tarn prouve que des hommes et des femmes de centre gauches et droits peuvent non seulement se parler mais aussi travailler ensemble.
Egalement  l’Union des Centristes Tarnais a démontré, bien avant la création de l’UDI, que toutes les tendances centristes, du parti-radical au modem, pouvaient se réunir, au moins au niveau départemental, et créer de la dynamique.
Cette crise  est bien plus profonde et insidieuse que l’on veut nous faire croire.
En tout cas, elle est encore bien devant nous contrairement aux déclarations que l’on nous annonce, comme si nous ne pouvions voir que la courbe du chômage crève le plafond de la précarité.
La solution existe encore, fort heureusement, mais elle passera peut-être  par une remise en question globale (ouvrir les yeux, ne plus se voiler la face, ne plus croire que tout s’apaisera et s’arrangera avec le temps).
Peut-être pour cela il faudra, même à notre niveau, mettre les vrais sujets sur la table et ne plus se laisser bercer par de douces illusions de renouveau enchanteur ou se laisser entrainer dans des querelles et débats stériles sur des sujets  trop souvent éloignés des véritables causes de notre effondrement.
Ce que de nombreux hommes politiques, de tout bord d’ailleurs, savent habilement faire monter sur le devant de la scène, pendant que les sujets prioritaires, ceux qui ont plus d’impact sur la vie des Français, sont traités en coulisse entre une poignée de personnes .En magie on appelle cela du détournement d’attention.
Il nous reste, à nous, qu’à nous engager vers ce déchirement salutaire du voile que l’on nous a placé devant les yeux, quelquefois même en bonne intention, comme pour nous protéger.
Si vous souhaitez y participer, contactez nous, il n’est jamais trop tard pour faire les choses nécessaires.
A bientôt,
Jean-Michel VAN NUVEL

vendredi 22 juin 2012

Tarn Libre 22/06/12 - Leur sort s'est joué à une poignée de voix - Folliot passe, Carayon chute

article du Tarn Libre 22/06/12 :


"Jacques Valax (PS) réélu avec 66,69 % des voix, Philippe Folliot (Alliance Centriste) qui devance Gérard Poujade de 784 voix et Linda Gourjade vainqueur sur le fil (303 voix) de Bernard Carayon sont les trois nouveaux députés désignés par les urnes au terme d’une soirée étouffante.

On s’attendait à deux duels serrés sur les 1re et 3e circonscriptions. On n’a pas été déçus. Ce n’est en effet qu’au terme du décompte des ultimes bulletins que Philippe Folliot (1re) et Linda Gourjade (3e) ont su que leur place sur les bancs de l’Assemblée Nationale prenait définitivement consistance.
Lorsqu’il a quitté Castres pour rejoindre Albi alors que le résultat de certains bureaux a priori défavorables (notamment la commune du Séquestre) n’avaient pas été comptabilisés, Philippe Folliot pensait sincèrement être battu. Mais en découvrant, à son arrivée à sa permanence albigeoise, le visage hilare de ses supporters, le député sortant a compris que les dés avaient roulé dans un sens différent ! Le camouflet inattendu infligé à Gérard Poujade sur sa commune où Philippe Folliot le devance de 7 voix, la fidélité inaltérable de la "montagne" qui tenait à garder "son député" (le candidat centriste dépasse les 65 % à Alban, Brassac, Murat, Vabre et les 60 % à Anglès, Lacaune, Montredon et Roquecourbe), la meilleure résistance que prévu opposée à son concurrent à Albi et Castres avec des scores tournant autour de 45 % ont suffi pour dépasser la barre fatidique… pour 784 voix.
Folliot "la tortue" a ainsi privé le Parti Socialiste d’un grand chelem départemental. Dès le début de la campagne, il avait annoncé que la "montagne" emporterait la décision. Elle ne l’a pas trahi. Et dans la dernière ligne droite, "l’équation personnelle" qu’il a soumis aux électeurs a tourné en sa faveur. Alors qu’une vague rose a déferlé sur la région (seules trois autres circonscriptions dont deux en Aveyron échappent à la gauche) et que François Hollande avait atteint 54 % sur cette circonscription, l’échec est amer pour Gérard Poujade qui l’a d’ailleurs très mal reçu (voir par ailleurs). Le premier secrétaire fédéral du PS a payé cash les dissensions internes liées à l’investiture contestée des candidats socialistes, le peu d’entrain des "alliés" du Front de Gauche à l’appuyer lors du sprint final et la détermination d’un Collectif local qui a "tracté" sans relâche lors des derniers jours de campagne. Echec amer également pour l’UMP dont les consignes de vote blanc n’ont pas été suivies. L’électeur est parfois têtu et a peu d’appétit pour les règlements de compte personnels."



Philippe Folliot : "j’ai quitté Castres en pensant avoir perdu"

"Je remercie du fond du cœur toutes celles et ceux qui m’ont fait confiance et en particulier les habitants de la Montagne et du Réalmontais. Cela démontre les vertus d’une relation de confiance et de proximité. Cette soirée fut pleine de rebondissements. Quand j’ai quitté Castres alors qu’il manquait le dépouillement de certains bureaux a priori "défavorables", je pensais avoir perdu. Inutile de décrire ma joie lorsque j’ai appris que j’avais gagné avec 784 voix d’avance ! C’est ma plus belle élection parce qu’elle a été obtenue sur une circonscription favorable à la Gauche puisque François Hollande avait réalisé 54 % et dans un contexte national de "vague rose". J’avais en outre face à moi le 1er secrétaire fédéral du PS, conseiller régional et vice président de l’agglo d’Albi et contre moi l’état major de l’UMP qui appelait à voter blanc et qui, sur Castres, j’en ai eu la preuve, a invité les militants à voter socialiste. Bref, il semblait impossible de gagner. Et pourtant ! C’est la preuve que la base peut se révolter contre les consignes venues d’en haut qu’elle ne comprend pas. Les méthodes irresponsables et la politique de la terre brûlée de MM. Carayon, Bugis et Amalvy sous l’égide de Jacques Limouzy ont été désavouées. Cela a d’ailleurs sans doute coûté son élection à Bernard Carayon. J’ai reçu d’innombrables messages de félicitations, dont certains assez cocasses… Je peux citer celui de François Fillon qui "se réjouit de me retrouver sur les bancs de l’Assemblée Nationale…" En conclusion, je dirai que j’ai été élu par quelques-uns mais que je serai le député de tous comme je m’y étais engagé."

mardi 19 juin 2012

La Dépêche 19/06/12 : Folliot veut un groupe centriste à l'assemblée

lien vers l'article de la Dépêche
Philippe Folliot a déposé une gerbe hier soir à Castres pour commémorer l'Appel du 18 juin./ Photo DDM, Th.A.

"Réélu pour un 3e mandat sur la 1ère circonscription (Albi-Castres-Montagne), Philippe Folliot savourait hier à sa juste valeur ce succès, « le plus difficile » de sa carrière de député. L'élu centriste assure avoir cru à sa défaite dimanche soir avant que le sous-préfet ne l'appelle pour lui annoncer la bonne nouvelle. « En partant de Castres pour me rendre à Albi, il me manquait notamment les résultats de Cunac et du Séquestre où je pensais être largement devancé. C'est l'inverse qui s'est produit. Quand le sous-préfet de Castres m'a annoncé la nouvelle, je l'ai fait répéter plusieurs fois, j'ai cru qu'il s'était trompé de numéro. »
Depuis dimanche soir, Philippe Folliot a reçu de très nombreux messages de félicitations « autant que pour les deux législatives précédentes réunies, et de tous bords ». L'élu a fêté sa victoire dans son local d'Albi en compagnie de sa suppléante Gisèle Dedieu et du maire Philippe Bonnecarrère sans doute pas mécontent de voir une candidature centriste réunir 44 % dans sa ville. Philippe Folliot qui se décrit comme « gaulliste social », a effectué sa première sortie officielle hier soir à Castres pour un dépôt de gerbe commémorant l'appel du 18 juin. L'élu est désormais le seul parlementaire tarnais non-socialiste, ce qui en fait l'un des leaders de l'opposition dans le département. « Mon premier travail va consister à rassembler la famille centriste et tenter de former un groupe à l'Assemblée où nous comptons une petite vingtaine d'élus entre le Modem, le Parti Radical, le Nouveau Centre et l'Alliance centriste. » Reprenant son credo de campagne, il promet « de ne pas être dans une opposition systématique mais d'être constructif » avec la majorité socialiste. Philippe Folliot promet de continuer son travail de terrain avec deux objectifs : « bien prendre en compte au titre de l'aménagement du territoire les aspirations de l'Est du département et travailler à une complémentarité entre les villes et agglomérations d'Albi et de Castres. » Le député membre de l'Alliance centriste (parti de l'ancien ministre Jean Arthuis) souhaite aussi défendre le projet d'autoroute entre Castres et Toulouse : « Je me battrai pour que le principe de continuité de l'État soit respecté. On ne peut pas au gré des alternances remettre en cause tout ce qui a été fait. »

Un tract qui fait parler

Un tract a été diffusé dans les boîtes aux lettres de l'Albigeois samedi, à la veille du second tour. Les habitants du Séquestre et de plusieurs communes ont reçu deux documents de cinq pages. Le premier intitulé «Lettre à mon ex-ami Gérard Poujade» émane d'un ancien actionnaire de l'entreprise de formation créée par l'élu du Séquestre et qui a été mise en liquidation. Le document avait déjà été envoyé à tous les maires de la circonscription durant la campagne. L'auteur qui révèle son nom en bas du texte, y fait part de son amertume vis à vis de l'ex-patron de l'entreprise, après avoir perdu une importante somme d'argent dans l'aventure. Dimanche soir, Gérard Poujade évoquait de possibles poursuites judiciaires contre les auteurs des deux tracts (le second évoque les déchirements au sein du PS tarnais et critique le projet d'éco-quartier au Séquestre). Hier, le candidat socialiste ne souhaitait pas faire de commentaire sur ces documents qui ont pu malgré tout influencer les électeurs. Dans la commune dont il est maire, Gérard Poujade a d'ailleurs été battu de sept voix."

France 3 le 18/06/12 : victoire de P. Folliot

lien vers le reportage France 3

Commentaires en direct de la permanence d'Albi à l'annonce de la victoire, sur France 3
JT 12-13h Midi-Pyrénées du 18/06/12
Aller à 4:20 pour voir le passage Albigeois.

(si vous avez des soucis de lecture du reportage, en cliquant une 2è fois sur le lien, le reportage apparaît)